Traitement du syndrome néphrotique cortico-résistant
RMN 7 >> FOCUS
Dans le syndrome néphrotique idiopathique, la résistance au traitement corticoïde est le plus important facteur
prédictif indépendant de l’évolution de la maladie rénale chronique. La seule alternative thérapeutique fondée sur des preuves suffisantes est alors le recours aux inhibiteurs de la calcineurine. L’indication du traitement par
mycophénolate mofétil, rituximab, sirolimus, ou aphérèse est soutenue par de très faibles niveaux de preuve
et doit être étudiée en fonction du risque encouru. Enfin, l’analyse du type et des facteurs de résistance, la
place de l’analyse génétique, la discussion d’une nouvelle biopsie rénale, et le recours aux traitements non
immunosuppresseurs et à différents marqueurs pronostiques sont les éléments d’une stratégie de prise en
charge personnalisée….. Lire l’article intégral
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