Rein et agents anticancéreux
RMN 4 >> MISES AU POINT
La néphrotoxicité des agents anticancéreux est de plus en plus rencontrée dans la pratique clinique, de telle sorte que le sous-domaine de “l’onco-néphrologie” a émergé. Cette toxicité peut toucher le glomérule, les tubules, l’interstitium ou la microcirculation rénale via différents mécanismes, avec des manifestations allant d’une élévation asymptomatique de la créatinine sérique, à des troubles hydro-électrolytiques plus ou moins sévères, voir une insuffisance rénale avancée nécessitant la dialyse. L’avènement des nouvelles molécules en oncologie, notamment les thérapies ciblées et l’immunothérapie, a entraîné une amélioration de la survie des patients par rapport à la chimiothérapie standard. Les toxicités rénales de ces agents anticancéreux sont de plus en plus… Lire l’article intégral
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