Le développement et l’accessibilité croissante des examens d’imagerie ont considérablement augmenté la fréquence des incidentalomes surrénaliens durant ces dernières années. Ces incidentalomes peuvent être sécrétants ou non, bénins ou malins. Ces caractéristiques doivent être déterminées par le clinicien et conditionnent le choix de la prise en charge thérapeutique. Les avancées de la biologie et de l’imagerie pourraient permettre de mieux caractériser ces lésions et éviter des chirurgies inutiles. Néanmoins, le choix de ces examens à visée diagnostique et les modalités de suivi des patients non opérés doivent rester rationnels pour éviter la prescription d’examens inutiles et coûteux à un nombre croissant de patients. … Lire la suite