Fertilité, grossesse et Cushing
Fertilité, grossesse et Cushing
JMED 14 >> MISES AU POINT
Le syndrome de Cushing se définit par un hypercortisolisme endogène ou exogène. L’augmentation de sécrétion du cortisol va avoir un impact négatif sur la sécrétion pulsatile de GnRH. L’hyperandrogénie pouvant être associée va également avoir un impact sur la GnRH, ces deux mécanismes aboutissant à un sur-risque d’infertilité. En cas de grossesse survenant chez une patiente présentant un syndrome de Cushing, de nombreuses conséquences vont pourvoir être observées chez la mère (avec un sur-risque de diabète gestationnel, hypertension artérielle, éclampsie, … en sus des complications propres à l’hypercortisolisme) et chez le foetus (retard de croissance intrautérin, prématurité, …). … Lire la suite
Vous êtes déjà abonné ?
Ce numéro est disponible en version papier : Contactez-nous
Laisser un commentaire