Pneumocystose chez le non VIH : pour qui y penser ? Du diagnostic au traitement
Pneumocystose chez le non VIH : pour qui y penser ? Du diagnostic au traitement
RMGF 19 >> ITINÉRAIRE D’UNE PATHOLOGIE
L’incidence de la pneumocystose chez les patients immunodéprimés non VIH augmente. Les présentations cliniques, radiologiques et les pronostics sont très différents lorsque l’on compare les pneumocystoses chez les patients infectés ou non par le VIH. Chez les patients non VIH, typiquement chez un patient suivi pour cancer sous corticoïdes, la dyspnée s’installe rapidement, la radiographie peut être normale, le diagnostic de certitude est difficile et la mortalité élevée d’où l’importance de la prophylaxie, très efficace, par triméthoprime-sulfaméthoxazole (1cpx3 par semaine) associé à de la vitamine B9. Le scanner montre la pneumopathie : plages de verre dépoli respectant la zone sous pleurale. Le traitement de première intention est… Lire la suite
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